Protéodies : vers une thérapeutique ondulatoire
La médecine ondulatoire est une nouvelle discipline de la médecine naturelle qui utilise la protéodie, ou le rôle de la musique dans les processus de vie, d’après les recherches du physicien Joël Sternheimer. Avec les ondes d’échelles, Joël Sternheimer montre qu’il est possible de guérir d’une pathologie non pas en éliminant le virus, mais en dialoguant musicalement avec lui. (Nous sommes très très très loin de Monsieur Pasteur !)
Par exemple on a remarqué que dans les notes des paroles de » j’ai trouvé l’eau si belle » de » À la claire fontaine » correspondent à une protéine qui dénitrifie l’eau.
Plus généralement, on observe que si un patient trouve un sens à une mélodie, s’il la trouve logique, belle, si elle est en résonance avec lui, c’est l’expression de son besoin pour cette protéodie à ce moment. En ce sens, la » mesure » se traduit par une forme de dialogue entre le sujet et » l’objet » qui est à l’origine de la pathologie. L’amplitude de l’effet est d’ailleurs corrélée avec l’ampleur de la réaction subjective du patient. Par contre, il se peut très bien que, plus tard, le patient n’ait plus besoin de cette protéodie ; il la percevra alors très différemment, ce qui peut aller jusqu’à être incapable de la reconnaître quelques temps plus tard.
Les exemples de résultats positifs à l’écoute de protéodies sont nombreux. Ainsi le cas d’une personne, quasiment aveugle et sourde : » Cette personne n’entendait plus que dans la bande des 8 kHz, là où nous entendons qu’un sifflement. Elle était également aveugle, ne voyait plus que les ombres. Avec l’aide d’un acousticien, elle a écouté la transposition de deux protéodies : celle de l’endorphine et celle du cytochrome dans la bande des 8 kHz. À l’écoute de la protéodie d’endorphine, qui favorise normalement l’endormissement, elle a eu des nausées ; par contre à l’écoute de la protéodie du cytochrome, elle s’est écriée : « Mais… je vois… je vois du bleu ! » Effectivement, il y avait des volets bleus devant elle. Elle avait retrouvé un début de vision « .
Le « Canon » de Pachelbel est relié aux proto-oncogènes!
La caractéistique du « Canon » se trouve dans les huit notes du début. Ce thème mélodique est répété sous diverses formes dans tout ce morceau de musique. La protéine d’activation de la GTPase, ou GAP, correspond à ce thème mélodique. En fait, le thème de la mélodie de GAP est, comme peut le comprendre sur les partitions ci-jointes, une variation du thème mélodique caractéristique du « Canon » de Pachelbel.
La GAP a une fonction d’inactivation des proto-oncogènes de la famille ras. Puisque les proto-oncogènes sont liés à la division cellulaire, on pense que quelques mutations partielles peuvent causer la prolifération anormale de cellules, qui produit un cancer. En fait, on trouve des mutations dans les proto-oncogènes ras pour 30% des cancers du poumon, 40% de ceux du colon, et même 80% de ceux du pancréas. Par conséquent, si on favorise la synthèse de GAP, l’activité des proto-oncogènes est réduite et le développement des tumeurs sera inhibé.
Inversement, selon les observations de thérapeutes musicaux qui ont utilisé le « Canon » de Pachelbel, certains types de stress peuvent stimuler des protéines ras, qui sont produites selon les codes des proto-oncogènes ras, et favoriser le développement de certaines tumeurs. Ils ont aussi observé qu’un certain nombre de maladies autres que des tumeurs peuvent être liées aux proto-oncogènes. Tout ceci correspond exactement à ce que les biochimistes commencent à mettre au clair, d’un point de vue scientifique.
Le « Canon » de Pachelbel a donc une fonction de réduction du stress et d’emp芯chement du développement de certains cancers et d’autres maladies reliées au stress.
Des résultats ont également été obtenus dans les cas du cancer. Ici encore, on constate que c’est l’organisme qui trouve sa propre stratégie. En effet, suite à l’écoute de protéodies, plusieurs effets ont été observés, qui ont été mis en évidence par des analyses cytologiques. » Dans les meilleurs cas, rapporte Sternheimer, il y a réversion des cellules tumorales vers la normale : ce qui signifie qu’il ne faut pas forcément les détruire. Dans d’autres cas, les défenses immunitaires se sont réveillées. Mais dans tous les cas, c’est l’organisme qui fait le choix : pas le médecin « . Médecin auquel il peut toutefois arriver d’intervenir d’une manière pour le moins inattendues : » parfois, il arrive qu’en présence de la personne qui souffre, la mélodie vienne d’elle-même, c’est d’ailleurs ce processus qui est à l’œuvre dans les chants destinés à provoquer la guérison dans les traditions chamaniques « . (Voir le livre de Mircea Eliade : Le chamanisme et les techniques archaïques de l’extase. Dans le chamanisme, la manifestation du Sacré peut se trouver dans une pierre, ou dans un arbre. Voir aussi la figure du koilon à la page Temps).
En ce qui concerne la démocratisation du procédé, les Japonais ont été les premiers à franchir le pas d’exploiter ce processus dans une dimension thérapeutique. Après une étude pilote au Department of Medical Science de la St Marianna University de Kawasaki au Japon, de 2000 à 2004, une consultation a été ouverte au public en janvier 2005 à la Joshi-Idai université de Tokyo. On y étudie la corrélation entre le goût prononcé des malades pour certains passages de certaines chansons, et les molécules protidiques leur correspondant, avec d’intéressants résultats.
L’inventeur a également émis une mise en garde pour les personnes souhaitant reproduire ses expériences recommandant de manier ces séquences sonores avec précaution car elles peuvent affecter l’homme. « Ne demandez pas à un musicien de les jouer », dit-il. En effet, l’un de ses musiciens aurait eu des difficultés respiratoires après avoir joué le morceau du cytochrome C…
Il est bien connu que Mozart favorise la production de lait chez les vaches. La raison de ce phénomène n’est pas bien étudiée et l’explication est donnée simplement comme: « La musique doit avoir fait les vaches à l’aise, ce qui leur a contribué à produire du lait».
Toutefois, selon la théorie de la «musique des protéines» proposé par le Dr Sternheimer, ce phénomène peut bien s’expliquer. P>
La prolactine est connue comme étant une protéine qui favorise le développement des glandes mammaires et la sécrétion du lait. C’est une hormone stimulante des glande mammaires. Le Dr Sternheimer pensé de traduire en mélodie la prolactine. Comme prévu, le passage de la musique de Mozart généralement était vraiment inclus dans la mélodie correspondant à la prolactine.
La prolactine est, pour les êtres humains, aussi une hormone de stress qui est produite sous contrainte de fatigue mentale ou physique afin d’en atténuer les effets. En stimulant la production de cette hormone, nous pouvons ainsi essayer de protéger nos corps. Par conséquent, la mélodie qui stimule la synthèse de prolactine peuvent avoir des effets favorables pour guérir l’ulcère causés par le stress.
Le brevet de Joël Sternheimer inclut aussi des mélodies pour le cytochrome oxydase et le cytochrome C, deux protéines entrant en jeu dans la respiration. Il inclut également des séquences sonores pour la troponine C qui régule l’absorption de calcium dans les muscles. Enfin, il existe un morceau pour inhiber la chalcone synthase, enzyme intervenant dans la fabrication des pigments végétaux.
L’idée que le son puisse avoir un effet curatif sur l’homme est actuellement explorée par un certain nombre de scientifiques indépendants aux quatre coins du monde. Connaître l’effet du son sur les protéines offre aux professionnels de la santé un aperçu de ce que pourraient en être les avantages pour l’homme. Outre les facteurs économiques favorables, la vitalité accrue des substances végétales peut avoir un impact positif sur tous les humains qui les consomment.

(D’après un article du journal NEXUS n° 48 de janvier 2007)http://www.earthpulse.com/src/subcategory.asp?catid=2&subcatid=6
http://www.fangpo1.com/Dos_Musique/matiere_music/mat_music1.htmhttp://www.rexresearch.com/sternheimer/sternheimer.htm
http://www.bekkoame.ne.jp/~dr.fuk/Series2F.html
« Par exemple on a remarqué que dans les notes des paroles de ” j’ai trouvé l’eau si belle ” de ” À la claire fontaine ” correspondent à une protéine qui dénitrifie l’eau. »
Perso je pencherai pour une autre analyse : à mon sens c’est ‘l »intention » contenue dans le message » eau si belle » et « claire fontaine » qui a généré un champ morphogénètique qui a une résonance dans la protéine en question. La médecine ondulatoire est une médecine énergétique elle est du registre du reiki. Les magnétiseurs utilisent la médecine ondulatoire de façon empirique . Ce que les machines peuvent faire dans ce domaine, les hommes peuvent le faire en mieux .C’est à dire de façon naturelle et plus adaptée au sujet à traiter.
« Ici encore, on constate que c’est l’organisme qui trouve sa propre stratégie »
Voir le post sur le sujet précédent sur la conscience des groupes cellulaires .
« L’idée que le son puisse avoir un effet curatif sur l’homme » : chose connue de tout temps, les Egyptiens et les Esséniens en faisaient usage pour ne citer qu’eux .
>“Par exemple on a remarqué que dans les notes des paroles de ” j’ai trouvé l’eau si belle ” de ” À la claire fontaine ” correspondent à une protéine qui dénitrifie l’eau.”<
Le plus simple c'est de réaliser l'expérience en aveugle en faisant plonger un hydrophobe sortant la mélodie dans l'eau par une personne étrangère à l'expérience ou un robot , puis analyser ensuite .
Bonjour,
Je signale un extrait d’interview de Joël Sternheimer ainsi qu’une émission de radio sur le physicien français disponibles en libre accès ici sur plusconscient.net.
Arc
LE PIED ! faire ses médocs soi-même avec un walkman et une bouteille de volvic !
les protéodies des cytochrome oxydase et cytochrome C peuvent être jouée à partir des partitions ici http://deonto-ethics.org/impostures/index.php?PHPSESSID=nmplohghidoaa4i4hnncq9fhv4&topic=5.0
par contre effectivement moi je suis très intéressé par tout ça et j’aimerais pouvoir créer des protéodies avec mon synthé ! mais il n’y a pas de méthodes vraiment bien décrite pour décrypter tout ça c’est à dire concrètement quelle mélodie sortir pour faire tel ou tel effet et permettre telle ou telle guérison. Apparament c’est pas diffusé car il y aurait justement des problèmes de santé si c’est mal utilisé… bizarre quand même tout ça…
‘Si des informations sur les travaux de Joël Sternheimer existent sur Internet, il n’est pas possible de trouver des protéodies disponibles pour écoute. Leur effet, en fonction des individus, est puissant, et potentiellement néfaste pour la santé, d’où les précautions qui entourent leur utilisation. La génodique, au potentiel incalculable pour l’humanité, n’est donc pas dénué de dangers en des mains inexpérimentées ou mal intentionnées. »
http://plusconscient.net/spiritualite/francais/362-genodique-mariage-de-la-musique-et-de-la-biologie
@ Néo
je ne pense pas que le fait de jouer des notes soit suffisant pour créer des effets efficaces dans un domaine particulier . Il faut d’abord générer un champ morphogénétique par le bais d’une « intention » . Dans le cas de « la claire fontaine » l’intention est le fait que des millions de personnes qui ont chanté cet air pendant des décennies ont visualisé sur ces paroles une source cristalline et pure . Ils ont donc créer avec le temps une trame éthérique ( j’appelle trame éthérique , un champ morphogénétique imparfait) , cette trame étant associée avec les notes de la mélodie , ce sont les fréquences vibratoires de ces notes qui entrent en résonance avec la trame et qui génère des effets dans la matière . je n’ai jamais réfléchie au processus qui permettrai d’obtenir une guérison à l’aide d’une mélodie particulière . Les soins par le son font plutôt usage de vibrations spécifiques que de mélodies à proprement parler. Par exemple une ré-équilibrage des chakras se fait à l’aide de bols tibétains , mais il ne s’agit pas de mélodies, juste des sons. Les soins par le chant demandent des dons quasi médiumnique pour permettre au thérapeute de se syntoniser avec la fréquence de l’organe malade et de le ré-harmoniser .
Pour répondre à la question : « ça c’est à dire concrètement quelle mélodie sortir pour faire tel ou tel effet et permettre telle ou telle guérison. »
Je pense qu’il faudrait en premier lieu travailler sur une chanson populaire traitant d’une guérison particulière, mais je n’en connais pas . De cette façon une trame éthèrique serait déjà en place , elle ferait office d’intention et permettrait une résonance dans notre monde tridimensionnel. Partant de là , le fait de jouer les notes de la chanson activerait la trame ce qui aurait pour effet de générer des effets spécifiques .
C’est un peu l’exemple de certaines prières ou mantra. Le fait que des millions de personnes les aient répétés dans le temps dans un but précis a généré une trame. Réciter cette prière ou ce mantra fait appel à l’intention qui l’a créer et son effet se reproduit alors entrainant une réaction physique.
@ Zone 51
ok mais il se trouve que Sternhaimer en traduisant la prolactine en mélodie est justement tombé sur la mélodie de Mozart qui augmente la production de la lait chez les vaches ! en fait il y a bien un algorithme.
Après Sterheimer parle de dialoguer avec les virus, je me demande bien comment.
Je me suis pris la tête sur le document en anglais brevetant le procédé, tout cela est bien complexe quand même…
il y a bien le logiciel Artwonk qui permet de produire des séquences sonnores mais sur quel algorithme ? ils parlent de mélodie de l’ADN aussi et leur modules protéodies a l’air hypercomplexe aussi à prendre en main. Les quelques séquences qui j’ai pû obtenir sont assez dissonantes…
@ Néo
« ok mais il se trouve que Sternhaimer en traduisant la prolactine en mélodie est justement tombé sur la mélodie de Mozart qui augmente la production de la lait chez les vaches ! en fait il y a bien un algorithme. » Pour cet aspect je ne possède pas suffisamment d’info pour décortiquer le problème .
« Après Sterheimer parle de dialoguer avec les virus, je me demande bien comment. »
Les virus sont des entités à part entière elles ont donc une capacité de communication .
Pour expliquer dans un registre équivalent: Cet été je me suis occupé d’une personne ayant des problèmes de santé au niveau du pied gauche. Je l’ai fait accéder à un état de conscience modifié et là je l’ai fait déplacer sa conscience jusqu’à la zone malade. Toujours dans le concept de corps/société cellulaire. Je l’ai faite ensuite communiquer avec le groupe cellulaire de son pied et elle a obtenu des information sur les cause de son mal et les moyens d’y remédier. Trois mois plus tard cette même personne se rendait sur Nantes dans le cabinet d’un médecin spécialisé pour le même problème afin d’avoir un avis plus traditionnel . Le diagnostique du médecin était le même à la virgule près que le résultat obtenu en communication avec le groupe cellulaire . Si l’expérience avait eu lieu dans l’autre sens, on aurait pu supposer que le diagnostique médical avait influencé les perceptions de la malade, mais dans ce sens il n’en est rien et le médecin n’était pas au courant de la séance de l’été. Donc il y a bien un moyen de communiquer avec les particules de type cellulaires .
Une grande partie du « mystère » réside dans l’ADN. il sert de banque de données, de récepteur/émetteur et de programmateur. Il est possible de le reprogrammer , j’ai fait quelques tentatives dans ce sens qui sont très encourageantes avec des résultats tangibles .
Je pense que la principale difficulté de compréhension de ces phénomènes vient de l’angle sous lequel on les aborde . Une approche purement scientifique va butter sur les aspects ésotériques du problème qu’elle ne parviendra pas à résoudre en restant dans un esprit cartésien. Ce qui sera le problème d’un logiciel qui n’intégrera pas le côté « magique » de la chose. L’importance que prend la physique quantique va dans le bon sens, elle permet de faire le lien entre les deux aspects d’une même chose, son côté scientifique et son côté ésotérique . Je pense que la solution se trouve dans une combinaison des deux approches .
« Donc il y a bien un moyen de communiquer avec les particules de type cellulaires .
Une grande partie du “mystère ” réside dans l’ADN. il sert de banque de données, de récepteur/émetteur et de programmateur. Il est possible de le reprogrammer , j’ai fait quelques tentatives dans ce sens qui sont très encourageantes avec des résultats tangibles . »
c’est intéressant je lisais justement hier une expérience scientifique qui démontrait que l’ADN était sensible à l’intention (« amour » « haine ») faut que je retrouve le lien
Je lis ce sujet avec beaucoup de passion , jadis je me suis posé la question sur la résonnance d’un son ou de plusieurs note
de musiques , et j’ai trouvé que le cristal d’un verre , avec de l’ eau rentrait en vibration en passant le doigt dessus .
j’ai constaté que la fréquence par rapport à l’ondulation me donnait une vibration dans les oreilles, j’ai introduit le fais de pensé
puis j’ai enregistré plusieur temps sur un magnéto pour avoir la note la plus proche de la fréquence de ma propre résonnance
c’est un peut simple mais le son reste en mémoire la vibration peut cassé le cristal de verre une puissance assez haute.
par contre l’enregistrement donne une mémore différente , petite expérience qui à du sens.
Avez vous déjà utiliser un bol chantant tibétain ?
Dans l’Himalaya, les tibétains fabriquent artisanalement des bols.
Ils utilisent un alliage de métaux. Ensuite ils le martèlent pour l’accorder ».
ça produit comme un son de cloche. Et quand on passe un bâton de bois
sur les contours du bol, en faisant tourner le bâton tout autour des contours
du bol, il se produit un effet de résonance particulier, il « chante »
On peut aussi le faire chanter et mettre un peu d’eau à l’intérieur.
Dans ce cas, on peut voir des vibrations à la surface de l’eau, et parfois
comme des petites ébullitions.
Certains bols « chantant » sont suffisamment grand pour être placer sur la tête.
et d’après eux, c’est un objet qui soigne.
Mise à jour :
Le « Canon » de Pachelbel est relié aux proto-oncogènes!
La caractéistique du « Canon » se trouve dans les huit notes du début. Ce thème mélodique est répété sous diverses formes dans tout ce morceau de musique. La protéine d’activation de la GTPase, ou GAP, correspond à ce thème mélodique. En fait, le thème de la mélodie de GAP est, comme peut le comprendre sur les partitions ci-jointes, une variation du thème mélodique caractéristique du « Canon » de Pachelbel.
La GAP a une fonction d’inactivation des proto-oncogènes de la famille ras. Puisque les proto-oncogènes sont liés à la division cellulaire, on pense que quelques mutations partielles peuvent causer la prolifération anormale de cellules, qui produit un cancer. En fait, on trouve des mutations dans les proto-oncogènes ras pour 30% des cancers du poumon, 40% de ceux du colon, et même 80% de ceux du pancréas. Par conséquent, si on favorise la synthèse de GAP, l’activité des proto-oncogènes est réduite et le développement des tumeurs sera inhibé.
Inversement, selon les observations de thérapeutes musicaux qui ont utilisé le « Canon » de Pachelbel, certains types de stress peuvent stimuler des protéines ras, qui sont produites selon les codes des proto-oncogènes ras, et favoriser le développement de certaines tumeurs. Ils ont aussi observé qu’un certain nombre de maladies autres que des tumeurs peuvent être liées aux proto-oncogènes. Tout ceci correspond exactement à ce que les biochimistes commencent à mettre au clair, d’un point de vue scientifique.
Le « Canon » de Pachelbel a donc une fonction de réduction du stress et d’emp芯chement du développement de certains cancers et d’autres maladies reliées au stress.
http://www.bekkoame.ne.jp/~dr.fuk/Series2F.html
Proteodies ?
Je suis nul en physique mais pour resumer (desole pour les accents j’ai un clavier US),voici une
metaphore:
Soit une instalation de musique experimentale :
douze imprimantes de model differents sont branches sur un ordinateur.
le son produit par chaque imprimante est enregistre sur une piste independante.
Un texte (avec des lignes de longueur irregulieres) est envoye aux imprimantes.
Le sample de chaque piste est converti de wave a midi (par exemple avec Akoff music composer)
Les fichiers midi ainsi obtenus sont joues avec un sequencer.La hauteur et la duree des notes
est tempere par rapport aux lettres du texte,elles aussi converties en midi (par exemple avec GoMinimal de ProletSoft).
Si le but est d’obtenir un truc harmonieux le mixage peut etre finalise avec ArtWonk en conjonction avec Cubase,
ou pour les plus furieux avec un plug-in VST fait maison avec Synthedit.La dificulte est d’obtenir une
musique qui serait compatible avec la lecture dudit texte par un humain (ou une voix de synthese,cf Vocaloide).
Ca c’est pour l’artistique,on peut eventuellement inclure quelques parametres binauraux (cf les allumes de Ultradia ou
les escrocs rigolos de Edozer) pour influencer son electroencephalogramme (a mon avis par autosugestion ou placebo),
avec l’effet Dove (pas le savon mais le savant du 19eme siecle).
C’est innoffensif et tres amusant pour les amateurs de synthese modulaire.
Ce que j’ai compris de la theorie de Sternhauser,c’est que quand une molecule se modifie l’ARN sert de source pour
assembler un nouveau ADN (je crois qu’il faut des annees d’etudes pour comprendre le sequencage des genes dans
une proteine et les fonctions y relatives…) en vue de creer une nouvelle molecule,il se produit une communication
entre l’ADN et l’ARN.Cette communication est une vibration et a donc un vocabulaire exprime en frequences (arbitraires ? ou
y a-t-il une suite de Fibonaci la dessous ?).Ces frequences sont tres loin du spectre audible,mais si on respecte la vitesse
(cette communication est sequentielle) et l’echelle des variations de frequence,la vibration de la matiere induite par une
source audio peut,par resonnances successives,correspondre a l’alphabet (table de frequences) de l’ADN-ARN.Demandez
a un physicien qui s’y connait en mechanique quantique ou tentez la face nord avec l’excellent « une breve histoire du temps »
de Stephen Hawkins.Ce processus peut inhiber ou desinhiber le processus de duplication.
En theorie il faudrait connaitre cette table des frequences et la jouer au bon tempo pour interagir avec les proteines.
Bien sur il n’y a que des physiciens confirmes qui connaissent cette table de frequence et la vitesse a la quelle tel ou
tel acide amine communique.Sternhauser propose de diviser les frequences d’origine par un truc du style puissance moins
trente et quelques et dit que ca correspond a une gamme majeur augumentee.Avec le systeme de Artwonk la frequence
du SI est de 1,888 fois celle du DO;je pense qu’il faut une precision de non pas 3 mais au moins 30 et quelques decimales
pour tomber juste et pour que cela aie un effet sur les haut-parleurs il faudrait aussi jouer sur le timbre du son (vive Synthedit!).
Si ce truc fonctionne,il peut etre constructif ou destructif,comme la dynamite de Nobel et c’est peut-etre pour ca que
tout ce qui approche d’une « table de frequences proteodique » sur le net est (un peu) faux.Ce serait une boite de Pandore.
Pour en revenir a ma metaphore,si vous utilisez ce texte avec la methode expliquee ci-dessus on aura peut-etre
quelques neurones connectes par quelques synapses d’une structure comparable (non,ce n’est pas de l’intrication
neurologique !),mais une information aura pu circuler de deux manieres differentes.
C’est du novlang avec ce clavier US !
Tu as tout compris, mais la méthode la plus simple est de récupérer directement les protéodies en MIDI pour les boucler dans CUBASE et composer par dessus…
En ce qui concerne ArtWonk pour l’avoir essayé je ne suis pas sur que tu puisse réellement sortir des protéodies avec…
C’est juste une réplique musicale d’un séquençage qui est différents de la transposition musicale des ondes d’échelles qui seraient émises lors de la synthèse des protéïnes comme l’explique Sternheimer…
« Lors de la synthèse des protéines, l’interaction codon-anticodon qui s’effectue dans le ribosome vérifiant la complémentarité des bases de l’ARNm et de l’ARNt donne lieu à l’émission d’ondes d’échelle. Ces ondes sont émises au moment où ces acides aminés, transportés par les ARN de transfert, s’assemblent pour former des protéines. Les signaux seraient des ondes appelées « ondes d’échelle « , c’est-à-dire qu’elles relient entre elles des échelles différentes – ici l’échelle de chaque acide aminé à l’échelle de la protéine en formation. »
http://bcgstpe.canalblog.com/archives/2007/12/16/7256050.html
Par le calcul, Joël Sternheimer a établi la fréquence de ces ondes d’échelle correspondant aux 20 acides aminés utilisés par le corps humain, ce qui lui a fourni 10 fréquences distinctes. On peut rendre ces fréquences audibles en les transposant en notes de musique. Nous obtenons donc pour une protéine, qui est une suite d’acides aminés, une succession de notes. »
sinon en partant du séquençage ARN il faudrait partir de la méthode proposée ici pour retrouver la séquence d’Acides Aminés et transposer en note avec le tableau ci dessus pour retomber sur nos pattes si tant est effectivement que le tableau sois juste…
1. Prendre une séquence en acides nucléiques
2. Traduire en accides aminés
3. Essayer de trouver la bonne séquence de la protéine,
(méthode décrite ici)
http://tecfa.unige.ch/perso/lombardf/bist/scenario7/
On peut trouver ici les Set de Séquence des principales protéines et leur effet sur l’organisme http://education.expasy.org/cours/FLO/Liste_prot_evol.html
Merci d’avoir pris le temps de me répondre;en effet c’est
plus clair comme ça !
Cependant il me reste un doute :si je prend une recette
de cuisine (la mayonnaise par exemple),si j’ai les ingrédients
en quantité correspondante le resultat seras toujours une mayo.
Mais si je remplace les œufs de la ferme par des oeufs d’
élevage industriel ça peut me gâcher mes asperges.
Il y a peut-être un rapport entre la » qualité » d’une proteodie et les paramètres du son utilise qui ne correspond pas forcement
au sens esthétique humain.
De ce que j’ai lu sur les expériences sur les tomates le
résultat comporte une part d’aléatoire assez importante
heureusement.Vu le niveau scientifique des expérimentateurs cette aspect est sans doute pris en compte ;je ne peux pas m’
empêcher de penser au concept de musique psychoactive .
En bricolant une proteodie a partir de la séquence du récepteur de la serotonine humaine est-il possible d’obtenir des réactions de la part d’auditeurs(trices) qui croient écouter de la musique conventionnelle ? si ce serait le cas la brigade des stupéfiants va avoir du boulot !Bon sujet pour un roman de SF…
Voici un clip fait avec Maya et Artwonk (musique aléatoire):
http://www.youtube.com/watch?v=1XIL7RsIq7Y&list=UUpR5qHNMPBSB5EBrCiUljwA&index=2&feature=plcp
Choisir une protéine parmis la sélection qui se trouve dans ce fichier
http://education.expasy.org/cours/Exploragenome/Banques_de_donnees_proteines.pdf
récupérer la séquence correspondante
Retrouver les noms des acides aminés constituants cette protéine en faisant correspondre les lettres de la séquence aux acides aminés
http://education.expasy.org/cours/Exploragenome/Acides_amines.pdf
on peut même retrouver pour s’amuser (mais c’est inutile dans ce qui nous préoccuppe) la séquence ARN correspondante
http://www.bioinformatics.org/sms2/rev_trans.html
Ensuite il ne reste plus qu’à transformer les protéines en sons activants ou inhibants
http://u.jimdo.com/www14/o/sfe1e551a4d70ce95/img/ifed9cc09e00eb030/1279258239/std/image.jpg
Merci pour le travail de documentaliste !
ça me fait beaucoup de nouvelles notions à relier entre elles,
est-ce une question de français/anglais ou de codon/anticodon ?
Artwonk utilise les lettres a,g,u,c et la documentation du net
presque toujours a,g,t,c ?
Joli mots-croisés en tout cas !
Les ondes d’échelles à la base des protéodies sont un gros
morceau (Paru dans : « Revue de Synthèse : Objets d’échelles », Tome 122, 4è S. n°1, Janvier-Mars
2001, pp. 93-116
RELATIVITé D’éCHELLE ET MORPHOGéNèSE
Laurent NOTTALE).
La relation cause à effet de deux évènements peut-il s’inverser
(l’effet génère sa cause par le fait de son existence) ou
un troisième évènement serait-il ce qui en donnerait l’illusion?
Mais ça ce serait de la quantique et plus de la musique.
J’ai aussi un problème avec le tableau de Sterneimer :la même
note est inhibante et stimulante pour certains acides aminés,
et aigu ou grave signifie plus ou moins une octave ?
(Je vais tenter de faire une animation 3d sur le sujet mais
je ne suis pas rapide.)
Seules les bases adénine, guanine, cytosine et thymine sont présentes dans l’ADN ; dans l’ARN la thymidine est remplacée par l’uracile
http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20070818135824AAdvZup
« J’ai aussi un problème avec le tableau de Sterneimer :la même
note est inhibante et stimulante pour certains acides aminés,
et aigu ou grave signifie plus ou moins une octave ? »
je pense que oui
« Je vais tenter de faire une animation 3d sur le sujet »
bonne idée mais y aurait même de quoi faire un petit logiciel bien sur faut connaitre la prog, mais je pense que transformer la séquence de protéine en notes est faisable même avec un traitement de texte (fonction remplacer). Ensuite pour les note aigues grave rajouter un chiffre après en fonction de l’octave… Après pour lire les notes, je sais qu’il y a des logiciels qui le font à partir de caractère dans un traitement de texte
Salut Néo,
ton tableau est interressant pour les intervalles, jusqu’à un certain point.
D.- N — Pro.———- n Gém ———- Us not. — Intervalle
a – 1 — Alanine —— 1121149145 —– C(g)D(a)— neuvième
r – 18 – Arginine —– 11889149145 —- C(a)D(g)— septieme
n – 14 – Asparagine — 11916118189145– G G ——- Octave
d – 4 — Aspartate —- 11916118201205– G G ——- Octave
c – 3 — Cystéine —– 325192059145 — F A ——- Tierce Maj.
e – 5 — Glutamate —- 81221201131205– A F ——- Sixte min.tierce Maj
q – 17 – Glutamine —- 81221201139145– A F ——- Sixte min.tierce Maj
g – 8 — Glycine —— 8122539145 —– A(g)F(a) — Sixte Min.
h – 8 — Hystidine —- 8251920949145 — B(b)E —– Quinte bémol(triton)
i – 9 — Isoleucine — 919151252139145- G G —— Octave
l – 12 – Leucine —— 1252139145 —– G G —— Octave
k – 11 – Lysine ——- 1225199145 —– A F —— Sixte min.tierce Maj
M – 13 – Methionine — 135208915149145- A F —— Sixte min.tierce Maj
F – 6 – Phenylalanine- 16851425121121149145- B E — Quarte
Phenylalanine SI bécare?
pour info la notion musicale « bécare » signifie que l’on enlève l’altération précédemment jouée: un dièse ou un bémol.
on se demande ce qu’il vient faire la haut milieu dans un tableau qui ne montre en rien les sequencages temporels.
Il y a ici une curiosité de notation.
Ce tableau ne cite pas non plus les octaves utilisés.
Ce tableau ne cite nulle part l’accordage utilisé.
Amitiés,
Ploz
Il y a quelques temps je voulais traduire en fichier
midi une suite de Fibonaci (1,2,3,5,8,13… ).
En partant d’une page Excell c’est pas trop dur d’obtenir
un fichier en ASCII.Ensuite Sputter de chez ProlSoft (gratos)
transforme ça en MIDI.
Le résultat est en sois sans intérêt,il faudrait plutôt indexer
ça sur des séquences de notes.
Mais ArtWonk a été fait par quelqu’un qui s’est pause ces
questions.La doc met bien le pied a l’étrier.
Il y a une section qui permet de régler très précisément
les gammes,une autre qui peut convertir a peu près tout en
midi et une autre spécialise dans la retranscription de
séquences génétiques en MIDI.
En conjonction avec MidiYoke,Cubase,Reason et une banque de
sons il y a déjà de quoi faire de l’artistique.
Une proteodie efficace c’est plus complique vu que c’est
suppose générer (ou faire résonner) une onde d’échelle.
ArtWonk est ici:(Sinon Google le trouve facilement)
http://algoart.com/
salut « ? »
ça représente quoi dans ton tableau « n Gém » et comment tu l’obtiens ?
@ Megabarman
J’avais testé il y a un moment un logiciel Fractal vers Midi assez sympa. le soucis c’est que c’est parfois un peu dissonant à la sortie tout comme artwonk ce qui m’avait obligé à des retouches dans le séquençeur
@+
NT