Ayahuasca et Voyage hors du corps, Etats de Mort Imminente et Contacts E.T : le DMT est il la clé du monde des chamanes ?
Le Chamanisme est considéré par les anthropologues comme un phénomène magico-religieux dans lequel le Chaman est le maître de l’extase. La connaissance d’autres dimensions, de la cosmologie est à la base du pouvoir du Chaman. Les Chamans ont développé des techniques pour maîtriser le “rêve lucide” et les OBE’s (out-of-the-body experience). La capacité à se mouvoir au-delà du corps physique est une spécialité du Chaman.
Ces voyages extatiques amènent le Chaman dans d’autres réalités, des mondes parallèles ou d’autres régions de ce monde. Le contact du Chaman avec les habitants des régions souterraines ou célestes (ou des esprits de la nature) lui permet d’accomplir certaines tâches au service de sa communauté. Par exemple, il s’agira d’accompagner l’âme d’un décédé dans le monde approprié, soigner des personnes faibles ou encore de réciter aux non-initiés ses voyages extatiques.
AYAHUASCA et CHAMANISME
L’Ayahuasca, est une préparation ancestrale, se présentant sous la forme d’un breuvage, mélangeant des écorces de liane avec des plantes riches en DMT, comme la psychotria viridis.
Les effets sont similaires, mais pas identiques à ceux du LSD (dérivé de l’acide lysergique, hallucinogène de synthèse qui agit surtout en modifiant les sensations visuelles et auditives).
Ce breuvage est utilisé depuis des millénaires en Amazonie pour guérir ou prier.
Pablo Amaringo est un chamane et artiste d’amazonie représentant ses visions sous ayahuasca. On y trouve de bien curieuses représentation de soucoupes volantes.
Les vaisseaux spatiaux occupent une place importante dans les visions de Pablo. Quand le Curandera lui donna l’Ayahuasca, Pablo observa une énorme soucoupe volante qui le fit paniquer. Pablo explique que ces véhicules peuvent prendre différentes formes, se déplacer à des vitesses stupéfiantes aussi bien dans les eaux que sous terre. Les entités pilotant ces machines sont comme des esprits, pouvant apparaître ou disparaître à volonté. Elles appartiennent à des civilisations extraterrestres vivant en parfaite harmonie. Les grandes civilisations amérindiennes, les Maya, les Hiahuanaco et les Incas ont eu des contacts répétés avec ces êtres supérieurs. Pablo affirme que certains Maya ont, jadis, visité d’autres mondes. Il ajoute que certains OVNIs observés de nos jours sont pilotés par des Sages, descendants des Mayas.
L’oncle de Pablo, Don Manel Shuna, un homme de 90 ans, explique que les machines mesurent 50 mètres et sont munies de lumières très brillantes. Ces machines ne touchent jamais le sol, mais restent suspendues dans les airs. Quelques fois, les entités descendent des soucoupes. Don Manuel ajoute qu’ “ils savent quand je prends du Ayahuasca. Ils viennent et chantent toutes sortes de chansons. Ils savent aussi comment prier. Ils veulent être mes amis, car il est des choses qu’ils ignorent. Ils veulent me prendre avec eux mais je ne veux pas car ils se mangent entre eux. Ils ont tenté de m’effrayer en faisant trembler la terre. Ils m’ont presque rendu fou. Ils ne viennent plus car je leur souffle du tabac au visage”.
Si ce récit semble loufoque, il faut garder à l’esprit que lorsque les chamans s’approprient de nouvelles sensations, ils les utilisent dans leurs visions sous formes de métaphores pour explorer le monde des esprits, augmenter leurs connaissances ou pour se défendre contre des attaques surnaturelles.
C’est ce qui fera dire à certains que les soucoupes volantes, les entités extraterrestres, et les civilisations intergalactiques que représente Pablo Amaringo dans ses peintures ne doivent pas nécessairement être considérés comme des représentations inhabituelles ou étrangères au chamanisme amazonien; ils peuvent être des résurgences de thèmes anciens.
Jacques Vallée (1979) et Bertrand Méheust (1988) ont souligné le parallélisme qu’on peut constater entre les thèmes folkloriques, les voyages chamaniques, et les abductions par des soucoupes volantes. De même que les autres parties du monde, l’Amazonie d’aujourd’hui est constamment bombardée par de nouvelles images et des symboles venus d’ailleurs, qui s’intègrent rapidement aux croyances traditionnelles.
Jan Kounen un autre chercheur en Ayahuasca est plus mesuré sur la nature de ces « contacts » : « Parfois, avec l’ayahuasca, dans les visions, on peut se trouver en relation avec des entités qui semblent avoir développé de la technologie, parfois on croit être en relation avec des extraterrestres alors qu’il s’agit d’esprits liés aux plantes que l’on a ingérées. Il est toujours très difficile de donner du sens, de dire que l’on a rencontré les extraterrestres. Il est tout aussi difficile de valider ses expériences. Les Indiens disent aussi que les entités extraterrestres sont comme nous, certaines ont de bonnes intentions, d’autres pas. Aujourd’hui, je sais que certaines réalités de ce type peuvent s’avérer être des expériences concrètes, même si l’expérience ressemble parfois à de la science-fiction. »
Jan Kounen met en garde contre les boufféées révélatrices qui peuvent prendre la forme d’une sorte de « messianisme » autoproclamé.
Ceci est du principalement à une mauvaise compréhension du chamanisme. Sa particularité est de travailler dans des territoires de guérison qui passent par des rencontres spirituelles. « Malheureusement, notre psychisme, notre psychologie, a tendance à les interpréter comme des expériences prophétiques alors qu’elles sont des rencontres avec les esprits des plantes à travers des expériences visionnaires. Le plus important, c’est finalement de se surveiller soi-même. Il s’agit d’éviter de saisir le sens à tout prix et de se laisser emporter par ses propres interprétations. Sinon, on a tendance à se prendre pour un nouveau prophète. Les pensées sont des énergies qu’il est préférable de laisser circuler. Tenter de les saisir, de les ramener à soi, c’est faire fausse route.
Il faut garder les pieds sur terre ?
L’ayahuasca ouvre l’intuition, permet de se connecter à son instinct animal. C’est un aspect fondamental. Cependant, la rationalité est aussi un outil de connaissance qu’il ne faut pas laisser tomber. Si l’on se branche exclusivement sur ses voix intérieures, cela représente un danger, celui de faire des erreurs d’interprétation. On peut dès lors très bien se mener soi-même en bateau ! La dimension rationnelle a toute son importance. En fait, l’équilibre entre les deux est primordial. Quand cet équilibre est présent, tout rentre dans l’ordre. Sinon, on peut vite se dire que l’on est un grand chamane, puisqu’on est allé voyager dans les mondes des esprits, de l’âme et des morts. Une grosse erreur qui va faire grandir en vous des idées toxiques. »
LA DMT ET EXPERIENCES HALLUCINOGENES OU « MULTIDIMENSIONNELLES »
La compréhension scientifique du processus chimique des principes actifs constituants de l’Ayahuasca en particulier le DMT apporte un éclairage nouveau
On a fait la connexion entre les Ovnis, les expériences de mort imminente et une substance connue sous le nom de DMT également présent en grosse quantité dans l’Ayahuasca a été amplement soulignée par Terence McKenna, lequel a démontré statistiquement qu’un grand nombre de personnes ayant absorbé 15mg de psilocybine, de manière « récréative » rapportent un « contact extraterrestre ».
La diméthyltryptamine (N,N-diméthyltryptamine) ou DMT est une substance psychotrope puissante (souvent synthétique mais aussi présente de façon naturelle dans plusieurs plantes dont les psychotria ou Anadenanthera). Elle est considérée comme un stupéfiant dans certains pays. Se présentant pure sous forme cristalline et généralement fumée, elle procure un effet hallucinogène quasi-immédiat et de courte durée ainsi qu’une expérience de mort imminente dans certains cas.
Cette dose est suffisante pour déployer tout le spectre des effets psychédéliques (cf. McKenna 1984,1989). Des occidentaux ont témoigné dans le même sens après avoir pris de l’Ayahuasca, du Psilocybe Cubensis, ou de la diméthyltryptamine (DMT). « Certaines recherches tendent à montrer que la DMT est produite naturellement en très petites quantités par la glande pinéale, connue également sous le nom d’épiphyse. » En sens inverse, certaines études lient l’expérience de mort imminente à une possible production de diméthyltryptamine par la glande pinéale…
Dr. Rick Strassman, professeur de psychiatrie à l’Université du Nouveau-Mexique, formule au début des années 90 l’hypothèse que les récits d’abduction spontanés pourraient être expliqués par une augmentation de la production endogène de DMT dans la glande pinéale des abductees. Cette augmentation serait consécutive à une élévation du niveau de stress chez les sujets. Il suggère l’existence d’un spectre entier d’expériences d’abduction dont les extrémités seraient la physicalité et la non-corporalité. Selon Strassman, nous pouvons concevoir le cerveau comme un récepteur d’informations dont la chimie serait affectée par la quantité de DMT absorbée ou sécrétée. La fréquence de réception serait modifiée et permettrait d’accéder à d’autres plans de réalité, inaccessibles par la conscience en état normal.
En 1990, le Dr. Rick Strassman, initie une étude visant à déterminer si l’injection de cette molécule a des applications médicales et thérapeutiques. Plus de 400 injections de DMT sont administrées par intraveineuse dans plus de 60 sujets volontaires, avec des doses allant de 0,05 mg/kg à 0,4 mg/kg.
Tandis qu’aucune application psychiatrique concrète ne fut identifiée, un phénomène inattendu se manifesta : sous DMT, les sujets entrèrent en contact avec des entités surnaturelles, non-physiques et douées d’intelligence. Les récits livrés par les volontaires sont étonnamment identiques, avec des environnements, des entités et des thèmes semblables d’un sujet à l’autre. Voici quelques extraits :
Lucas (dose de 0,4 mg/kg) : « Il y avait deux entités qui m’escortaient sur la plate-forme. J’aperçus diverses entités dans le vaisseau spatial – des automates, des créatures androïdes. Elles effectuaient des tâches de maintenance technologique et ne faisaient aucunement attention à moi ».
Dimitri : « J’étais dans un laboratoire alien. Il y avait des entités qui m’attendaient. Elles ne semblaient pas aussi surprises de me voir que je l’étais de les observer. Il y avait une créature qui supervisait l’ensemble des opérations
(…) ».
Sara : « J’ai toujours pensé que nous n’étions pas seuls dans l’univers et que l’unique endroit où rencontrer ces intelligences est l’espace sidéral. Je n’aurais jamais pensé les rencontrer au tréfonds de ma conscience. J’ai également observé des équipements, des machines alors que je m’attendais à baigner dans des thèmes et des archétypes liés à ma sphère personnelle. Je m’attendais à voir des guides spirituels et des anges, mais aucunement des formes de vie alien ».
L’ensemble des schémas et des thèmes des récits d’abduction tels que recueillis par Budd Hopkins, David Jacobs ou John Mack – environnement à haute valeur technologique, opérations liées au système reproductif, induction d’excitation sexuelle et d’émotions, implants et sondes, hybridation, laboratoire, entités évoluées capables de télépathie – sont identiques à ceux récoltés auprès des sujets sous DMT.
Strassman explicite : « les sujets sont en contact avec des entités douées de conscience, de volonté et d’intelligence, souvent plus évoluées que nous. Le plus étonnant, c’est leur conscience de notre présence. Certaines fois, elles semblent nous attendre. D’autres fois, elles sont surprises de notre irruption dans leur environnement. Dans les deux cas, elles savent que nous apparaissons sur leur plan de la réalité (…). Il se peut que les sujets débarquent dans leur « monde » en traversant d’énormes distances et dans d’autres cas, le voyage s’effectue en un clin d’œil (…). Les entités partagent leurs connaissances, peuvent faire des prédictions ou donner des avertissements. Soit elles veulent nous aider, soit elles demandent conseil ».
DMT et ADN
Sous DMT, il est courant que les sujets observent des formes et des objets évoquant le thème de l’ADN, qui est soit ouvertement discuté avec les entités, soit apparent sous diverses représentations, comme celle de serpents entrelacés formant une double-hélice.
Jérémy Narby, un anthropologue étudiant l’écologie d’un peuple indigène de l’Amazonie péruvienne se trouve confronté à une énigme : les Indiens, dont les connaissances botaniques sont admirées par les scientifiques, lui expliquent invariablement que leur savoir provient des hallucinations induites par certaines plantes. Dans une enquête qui s’étale sur dix ans, de la forêt amazonienne aux bibliothèques d’Europe, il réunit suffisamment d’indices pour être convaincu que la réponse à l’énigme se trouve dans l’ADN, la molécule de vie présente dans chaque cellule de chaque être vivant.
Hancock pose l’hypothèse que l’ADN contient des informations rendues accessibles par les EAC, en particulier via DMT. Ceci rejoint l’hypothèse de l’anthropologue suisse Jeremy Narby, étayée dans son ouvrage The Cosmic Serpent – DNA and the Origins of Knowledge, qui soutient que l’ADN possède son « propre esprit » et que l’ayahuasca ouvre une porte sur d’autres réalités donnant accès à cet « esprit de l’ADN ». Narby considère l’ADN comme un artefact de haute biotechnologie dont le code contiendrait des informations à notre attention, mises à disposition par des entités supérieures. Ce sont ces informations qui seraient rendues accessibles aux chamans, abductees et sujets du Dr. Strassman.
Actuellement, il se trouve que seul 3% de notre ADN fait sens dans le cadre de nos acquis scientifiques, le 97% restant serait de l’« ADN poubelle » (« junk DNA », en anglais), qui contiendrait de l’ADN sans fonction. Selon les scientifiques, « la vaste majorité de notre ADN remplit des fonctions que nous ne comprenons pas ».
C’est ainsi que des sujets auraient acquis des connaissances contenues dans l’ADN par l’intermédiaire d’inductions d’EAC. Par exemple, en 1999, trois biologistes moléculaires occidentaux ont participé à une cérémonie d’ayahuasca sous la direction d’un chaman en Amazonie péruvienne. Deux d’entre eux ont eu des contacts avec des « plantes-enseignantes » se présentant sous la forme d’« entités indépendantes ». Un biologiste américain spécialisé dans le génome humain a prétendu qu’en vision, il a observé un « chromosome vu de la perspective d’une protéine survolant une chaîne d’ADN », appelée « îles de CpG » .
Encore plus surprenant, le prix Nobel Francis Crick, qui a co-découvert l’ADN en 1953, a précisément fait cette découverte en étant sous LSD (qui est une substance triptaminique) quand il aperçut « la forme de double-hélice » qui lui révéla la structure de l’ADN. Est-ce que les informations encodées dans son ADN – mises à disposition grâce à la triptamine – lui ont permis de découvrir la structure de…l’ADN ? On peut légitimement se poser la question !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dim%C3%A9thyltryptamine
http://ovnis-usa.com/2011/02/16/la-connexion-ayahuasca-aliens-22/
http://pryskaducoeurjoly.com/wp-content/uploads/2010/07/0-Nexus-Questions-Jan-Kounen.pdf
http://www.panhuasca.org.br/frances/sinergismo.htm
http://dhyanchohan.unblog.fr/2008/07/19/chamanisme-soucoupes-volantes-et-ayahuasca/
http://www.extraterrestres.org/dmt
En d’autres termes : « Si toi vouloir connaître vérité, toi devoir te droguer. »
pas forcément 🙂 on prouve que c’est le contraire justement vu que c’est « chimique » le grand sorcier du village a un peu tendance à perdre son pouvoir de fascination « magico-religieuse »…
… mais il n’en reste pas moins que c’est une substance que nous sécrétons tous par la glande pinéale
Ce qui confirme notre lien avec ce qui est au-dessus et en-dessous de nous : le Ciel et la Terre.
A ce stade la ce n’est plus une histoire de drogue.
L’utilisation de cette substance dans un cadre rituel est très loin
de l’usage de substances psychédéliques qui peu être fait dans nos sociétés
dans un but de défonce.
En Amérique du sud, l’ayahuasca est considérée comme une médecine à part entière,
sans tabou. C’est une étape normale de la vie, qui fait partie de l’évolution de la conscience.
De nombreuses études tendent à prouver que l’usage de cette substance à un impact
physique et toxicologique très faible sur le corps.
(Remarque perso : surement bien plus faible que bon nombre de médicaments sur le marché…)
Par rapport au fait que la DMT est présente dans le cerveau; ce n’est qu’un théorie mais
qui soulève des questions interessantes.
Notamment concernant des cultures ou l’entrée en Trance se fait au moyen de la méditation
(boudhistes…)
En effet, la glande pinéale (qui serait responsable de la production de DMT), est représentée
comme le 3e oeil dans un grand nombre de cultures, celui responsable de l’éveil de la
conscience.
On peut donc émettre la théorie que par des processus de concentrations et de médiation,
certaines personnes (moines…) deviennent capable de stimuler cette production de DMT,
rendant possible leurs expériences.
Mais bon tout ceci reste théorique et ne sera vérifiable que le jour ou les recherches sur
ce type de substances seront légales.
En tout cas un sujet intéressant qui soulève un bon nombre de questions et qui ne peut
(malheureusement) être étudié que théoriquement.
Heureusement que le web regorge d’informations sur ce thème…
Je vous conseil la lecture de ces trois livres (il y en a bien d’autres mais ceux là sont déjà pas mal)
* L’Anthologie du chamanisme : Cinq cents ans sur la piste du savoir (Jeremy Narby, Francis Huxley)
* Chamane : Le chemin des Immortels (Paul Degryse)
* L’Art de rêver. Les Quatre Portes de la perception de l’univers (Carlos Castaneda)
J’ai profondément apprécié ces livres et leurs contenus 🙂 à mon avis, bien plus riches qu’une compilation de toute les infos sur le net à ce propos.
Il y a un documentaire Arte, passionnant qui s’appel » les champignons hallucinogènes, histoires de shamans et de scientifiques en tout genre « , à ne pas manquer.
@The Seeker
Les ethnologues ne sont pas du genre à faire uniquement des études théoriques, et ils ne sont certainement pas les seuls, il n’y a qu’à jeter un oeil sur la documentation militaire à ce sujet.
Info: La sérotonie, sans ses atomes d’oxygène, est pour ainsi dire identique à la psylocibine. Elle même très proche du LSD.
J’adore ce sujet :p
Je vous conseil aussi de vous renseigner à propos de la médecine des indiens Shipibo d’amazonie péruvienne. Ils utilisent de nombreuses plantes, « instructrices » et « guérisseuses », y compris des lianes à la DMP, et selon eux, ils communiquent avec les plantes directement d’ADN à ADN.
C’est une culture étonnante 🙂
C’est vrai que Arte fait des documentaires très interessant sur le sujet.
Sinon BeatWinTheWave je suis d’accord avec toi que les recherches ne
sont pas que théoriques. Je disais ça pour la théorie sur la méditation,
ou il est difficile d’avoir des preuves. Maintenant les ethnologues, médecins,
psychologues, scientifiques… qui se penchent sur le sujet font des études
tout à fait sérieuses.
Il y a un bouquin assez interessant sur le sujet dans la mesure ou il relate
bien la diversité des expériences avec la DMT, c’est « DMT, la molécule de l’esprit »
du Dr Rick Strassman. C’est le résumé de l’étude citée dans cette article.
Après on pourra dire ce qu’on veut sur le dmt, le shamanisme et tout ça,
tant que nos sociétés occidentales ne seront pas prêtes à accepter cette
science cela restera toujours pour la majorité des gens des « hallus » alors
que les nombreuses études font états d’expériences qui ne peuvent pas être
être réduites à l’expression de notre inconscient.
Certains domaines nécessite une ouverture d’esprit qui dépasse la conception
« matérialiste » et cartésienne de la vie.
Mais bon il semblerait que les frontières entre science et spiritualité s’effacent de
plus en plus et que les gens acceptent petit à petit des explications un peu plus
« divergentes » que ce que leur « apprend » TF1.
De toute façon le formidable potentiel spirituel et thérapeutique des substances
psychédéliques ne pourra pas rester indéfiniment dans l’ombre…
ça me rappel une petite phrase:
L’homme n’est pas fait pour être équilibré, mais pour être équilibriste.
Dans certains lieux, on ne les appel pas chaman ou sourcier, mais plutôt « jongleur »
C’est un belle phrase.
Je ne savais pas pour l’appellation mais effectivement l’image du shaman
qui « jongle » entre les mondes et sert de « relais » est assez sympathique.
J’ai lu une belle phrase moi aussi qui disait :
« Nous ne sommes pas des êtres humains ayant une expérience spirituelle
mais des êtres spirituels ayant une expérience humaine… »
à beatwin the wave:
Oulà, commencer direct par « l’art de rêver » c’est un peut délicat. 😀
Je conseille de commencer par « voir » son second ouvrage…
appuie sur le champignon de ta DMT… heu DMC Mc Fly! pour activer le convecteur temporel! 😉
bonne synthèse, cependant toute ces recherches ont pris un coup de vieux… a voir » DMT the spirit molécule » sortie il y a quelques mois.
et dire que j’ai vécu cela sans rien, sans substance ! et en plein Paris !
A voir absolument le film « Enter the Void » de Gaspar Noé! Frissons assurés (DMT et décorporation…) Un des rôle est attribué à Jan Kounen, lui-même réalisateur du film « Blueberry »: Ayahuasca et chamanisme…Tout un programme!
Qui pourrait m’expliquer ce qu’est un « voyage chamaniste » ou me mettre sur la voie d’indices concernant ce phénomène.
Merci
commen faire vhc avec a base d une plante