De l’illusion du cercle
Dans la réalité spatiale et temporelle, le cercle parfait sur un support matériel est un cliché imaginaire aberrant. On croit tracer un cercle sur une surface plane alors que l’on crée une spirale à 3 centres : l’un est spatial, le deuxième est temporel et le dernier est vibratoire.
Tout dans l’univers est mouvement. D’après cette simple observation, il est logique de déduire que le cercle tracé dans l’espace n’en est pas un. Entre le point de départ et celui du retour qui vient boucler la courbe, la Terre s’est déplacée à raison de 40 kilomètres par seconde. En outre, un certain temps s’est écoulé entre le début et la fin du tracé. Ce décalage signifie que le temps est une fonction qui doit être prise en considération. ex
L’image est plus expressive lorsqu’on trace un cercle sur une feuille de papier. Entre le moment où l’on commence le tracé et celui où l’on rejoint le début, il s’est également écoulé une certaine durée consécutive à son exécution. Mais de plus, ce que l’on oublie souvent, et qui tendrait à démontrer la vanité de celui qui croit encore à la perfection du cercle, est le support lui-même. L’atome est en perpétuel mouvement d’énergie. Il en résulte une confirmation de l’impossible perfection du cercle. Le papier qui sert de support au cercle n’est plus exactement semblable à lui-même, quelle que soit la vitesse à laquelle on s’efforce de tracer le cercle.
En conséquence, le cercle parfait n’existe pas, excepté peut-être dans le champ de conscience où l’imagination est reine. (5) Toute représentation plane ou spatiale, n’est pas exactement celle prévue au départ de son tracé. Elle n’est qu’une convention humaine propre à aider son intellect. Comme l’Homme ne peut appréhender directement la Réalité, il se forge des symboles géométriques. Par conséquent, le cercle est sans existence réelle. Bien qu’il ne transcrive pas la réalité, il n’en reste pas moins un puissant symbole.
Voici une démonstration succincte expliquant la raison pour laquelle le tracé d’un cercle est une spirale à 3 centres. Depuis le point de départ du tracé d’un cercle jusqu’au point de retour qui le rejoint pour le fermer :
a) La Terre s’est déplacée dans l’espace à raison de 40 kilomètres par seconde ;
b) un certain temps s’est écoulé entre le début du tracé et sa fin ;
c) le support matériel, quel qu’il soit, étant constitué d’atomes et d’électrons, est en perpétuel mouvement d’énergie.
Le cercle est un symbole façonné par l’être psychique afin de ramener le concept de l’infini à une notion plus assimilable à la compréhension humaine.
L’Homme n’est pas encore capable d’effectuer le calcul d’une spirale vibrante de vie, comme lui montre pourtant la nature vivante. Dans la création, tout est régi par des forces de vie qui s’analysent par les nombres.
Depuis Einstein, on sait que les rayons de la lumière sont courbes. En effet, d’une part, l’univers créé manifeste un espace courbe, d’autre part, les rayons lumineux qui proviennent des étoiles, sont infléchis par une masse planétaire. Mais l’essentiel de cette courbure réside dans la conséquence du perpétuel mouvement dont l’univers est animé depuis les galaxies jusqu’aux atomes.
Le centre de la spirale cosmique est une dynamique qui perpétue les trois vecteurs énergie-espace-temps. Or, pour que s’engendrent l’espace et le temps, l’énergie est nécessaire afin de les structurer. L’éternelle impulsion en est une modulation vibratoire dont les paramètres seraient susceptibles d’être découverts grâce aux décimales de Pi.
Il semble que la Réalité pourrait être accessible à partir de trois centres :
– L’espace et ses distances ;
– le temps et ses durées ;
– l’énergie et ses vibrations.
Alors que les rythmes incluent l’espace et le temps, l’être unifie les trois centres de la spirale cosmique dans son point de conscience.
En extrapolant, lorsque l’Homme parviendra, dans quelque temps futur, à intégrer ces trois centres dans ses aspirations mystiques, il sera accepté parmi les êtres vivants d’ailleurs, il lui sera possible d’accéder aux mondes, voire aux civilisations extra-terrestres. (6)
Ainsi, la raison admet plus facilement comment la spirale cosmique, à partir de son triple centre, se déploie par son énergie vers l’infini et dans l’éternité.
L’idée que Pi pourrait développer une spirale, est renforcée par une bien curieuse observation en relation avec la religion, que rapporte une revue pourtant scientifique.
« Le numéro d’octobre 1965 d’Euréka, la revue annuelle des étudiants de mathématiques de l’université de Cambridge, indique une étrange relation entre les 7 premières décimales de Pi. Cette relation associe les trois nombres mystiques de la numérologie médiévale (1 pour Dieu, 3 pour la Trinité et 7 pour le nombre de jours de la création du monde) aux trois nombres parfaits (c’est-à-dire les nombres égaux à la somme de leur diviseur, le 1 compris). En effet, la 1ère décimale de Pi est le plus petit nombre parfait, les 3 premières décimales (141) s’additionnent pour donner 6, le deuxième nombre parfait, et les 7 premières décimales (1415926) s’additionnent pour donner 28, le 3è nombre parfait. » (7)
En attendant l’implication mystique de Pi dans le progrès spirituel humain, il s’avérerait possible, à partir de la triplicité du centre de la spirale cosmique créatrice, de définir dans l’univers des projections et des dispositions spatiales ou temporelles. L’outil mathématique qui le permettrait semble résider dans l’utilisation de la valeur de Pi. L’incommensurabilité ainsi que l’analyse de cette spirale cosmique nous prépareraient-elles à ce nouveau concept ?
En considérant la prolifération des formules pour calculer les décimales de plus en plus nombreuses de Pi, on peut se demander dans quelle mesure l’Homme n’a pas inventé cet étrange nombre pour le plaisir de son intelligence ou pour son orgueil.
Les ordinateurs nous habituent à des nombres aussi longs que fastidieux. Nous avons relevé dans un livre les mille premières décimales de Pi. Un chercheur en a développé un million. En 1989, leur nombre, calculé par un ordinateur japonais, atteint le milliard. L’ordinateur ne remplace pas l’Homme. Toutefois, il excite la matière grise des chercheurs afin qu’ils découvrent de nouvelles formules mathématiques qui soient plus facilement digérables par les circuits électroniques des ordinateurs.
Vers 1945, l’ordinateur ingurgitait des séries, de très longues suites de termes mathématiques dont la somme tend vers Pi. Les mathématiciens découvrirent ensuite de nouvelles séries convergentes vers Pi. Depuis, produire plusieurs milliards de décimales de Pi, ne relève pas même du défi, mais plutôt du jeu.
Et toujours, invariablement, aucun cycle répétitif ne se découvre dans la suite des décimales, qui semblent apparaître au gré du hasard.
C’est affolant de penser qu’un nombre puisse être infini. D’autres nombres existent qui ne tombent pas juste. Mais on y découvre un cycle qui se répète indéfiniment. Toutefois, Pi se caractérise par la disposition de ses composants.
Pi, spirale de l’univers
Une des raisons pour lesquelles les décimales de Pi sont infinies est due au principe spatial de l’univers. En effet, une spirale universelle manifestée par l’évolution des planètes, devrait nécessairement passer par tous les points de l’univers. À priori, cela semble logique, à la seule condition d’admettre que l’énergie, qui structure l’espace-temps, ait été créée dans son intégralité dès l’origine de la création. La conception de l’espace-temps résulte de la présence de l’énergie, fut-elle aussi subtile que celle qui se manifeste dans la conscience.
À vrai dire, personne ne peut affirmer que la création soit achevée. Si elle l’est vraiment, il faut que, tôt ou tard, la spirale retrouve les mêmes coordonnées, les mêmes dispositions et les mêmes conséquences évolutives de la vie. S’il en était ainsi, on pourrait jusqu’à induire que la fin absolue du cycle de la création serait susceptible de se découvrir grâce aux décimales de Pi.
Dans le cas où les décimales de Pi auraient une limite, celle-ci devrait se confondre avec la fin de l’univers actuel. Il semble bien que sa manifestation soit cyclique, ainsi que tendraient à le concevoir les études scientifiques contemporaines, tout comme le souffle de Brahmâ de la philosophie hindouiste le laisserait supposer. Car, au terme du Respir, tout serait accompli. Le cycle s’achèverait par la réapparition dans les décimales des premiers chiffres, soit 3,1416 … 6141.
Hypathie : Depuis Platon, tout le monde Aristarque, Hipparque, Ptolémée, chacun sans exception s’est évertué à réconcilier ses observations avec des orbites ciruclaires…
Mais si les cieux dissimulaient une autre forme ?
-Oreste : une autre f… ? attendez aucune forme n’est plus pure que le cercle… c’est vous que je cite
-Hypathie : Je sais oui … je sais mais supposons que la pureté de la forme ciruclaire nous ai aveuglés à d’autres formes qu’elle pourrait cacher, tout comme l’éclat du soleil nous empêche de percevoir la lueur des étoiles. Oh… il faut tout recommencer … avec… avec un regard neuf… il faut que je repense tout … (elle marmonne) Tout remettre en question – (Film Agora de Alejandro Amenabar 2009)
Source : http://sites.google.com/site/mescarnetsderecherche/35—gnose-et-arithmologie
Excellent article ! Merci !!!
l espace c est le temps ;;; demontre !!! l espace pur et vide sans rien dedans ; n existe pas / tout est quelque chose ; meme l espace le plus vide est rempli de vapeurs si minces ; si etalees sur des regions infinies ; qu elles semblent ne pas exister !!! puis une fois les vapeurs disparues ; il y a de l energie / cela se manifeste sous forme de vibrations : d oscillations ; de mouvements du TOUT a une frequense particuliere !!! l energie invisible est l espace qui retient la matiere !! au debut ; maniere de parler puisque debut il n y a pas / toute la matiere etait condensee en un seul point minuscule / on ne peut en imaginer la densite ; c est parce que l on croit en la densite de la matiere telle qu elle est maintenant / en realitee ce que l on appelle matiere c est surtout de l espace !!! tout les objet solide sont composes de 2 pour cent de matiere solide et le reste d air !!!dans tous les objets l espace entre les particules est enorme /il est pareil a la distance qui separe les corps celestes dans notre ciel nocturne / mais pour nous simple humains ses objets sont solides /a une epoque l univers entier etait solide ; il n y avait aucun espace entre les particules de matiere / toute la matiere etait depourvue d espace et puisque l espace avait disparu : cette matiere occupait une zone plus petite que la tete d une epingle !!! il y eut donc un temps avant ce temps la ou la matiere n existait pas !! c etait ce que lm on apelle mainten,ant L ANTI MATIERE / BON j arrete la j ai peur de vous prendre la tete !!! voila !! /// http://abductionquantique.over-blog.com/ //// c est dans mon cerveau ; ce genre de theories et croyez moi je m en passerais !!! je prefererais plutot connaitre les prochains numeros du loto / enfin on fait avec ; comme on dit !!!!!
Le cercle est défini par pi dans la conception arithmétique.
Le fait d’introduire le temps en fait une hélicoïde théorique car se translatant dans le temps. Le fait de décomposer le cercle dans un répère cartésien en fait une vibration sinusoïdale.
Ce qui m’amuse c’est que l’aléatoire avec une excellent entropie prédictive permet d’obtenir la valeur de pi. Cet aléas avec une excellente entropie prédictive est donné par la nature, mais pas par les nombres pseudo aléatoires d’une machine ou d’un ordinateur.
L’aléas permet aussi de construire un cercle de manière non continue mais de manière aléatoire, un aléas infinis donnant une forme finie déterministe, comme dans les fractales
En disant que le cercle est la forme parfaite, c’est probablement parce que c’est cette forme qui permet de mieux canaliser les énergies de forme magnétique ou electromagnetique dont nous avons besoin pour vivre.
La forme circulaire qui se retrouve dans l’hélicoïde est une formalisation de notre éducation, la vie est en mouvement, toutes les théories d’aujourd’hui sont des formes continues et linéaires mais c’est la forme rotationelle qui est largement plus riche et sans réponse dans les théories actuelles et c’est la raison pour laquelle j’adhère aux idées de cet article.
Je crois aujourd’hui que toute les formes ont leurs actions dans notre monde.
Lorsque nous écrivons ou que nous dessinons ou que nous faisons consciemment de l’art nous imposons au monde notre manifestation.
Merci Néo.
C’est affolant de penser qu’un nombre puisse être infini. D’autres nombres existent qui ne tombent pas juste. Mais on y découvre un cycle qui se répète indéfiniment
C’est affolant de penser qu’un nombre puisse être infini. D’autres nombres existent qui ne tombent pas juste. Mais on y découvre un cycle qui se répète indéfiniment
C’est affolant de penser qu’un nombre puisse être infini. D’autres nombres existent qui ne tombent pas juste. Mais on y découvre un cycle qui se répète indéfiniment (dans le texte)
Ca me fait penser à ce que je lis sur la géométrie fractale;
C’est une géométrie qui montre une similarité étonnante de formes entre tout ce qui est dans l’univers du plus petit au plus grand (indépendamment de l’échelle) et qui permet une étude plus pertinente de la nature et de l’univers
Et donc les fractales permettent simplement d’expliquer tout dans l’univers, super. Bon je ne suis plus dans les maths depuis longtemps mais l’auteur que je lis ose et propose de pouvoir analyser le temps (ses cycles courts et longs..) avec cette géométrie qui est née au 20e siècle….On verra…
@ YANN
Effectivement , toute forme a une action dans notre monde (et dans d’autres) .
« Tout ce qui a forme dégage de l’énergie, émet des ondes de forme qui agissent sur nous, en bien ou en mal, tant au plan physique que psychologique.
Toute onde, toute émanation de forme peut se localiser ou se re localiser dans d’autres formes. Inversement, toute forme émet une onde ou en capte d’autres.
En principe donc, toutes les formes, qu’elles soient bidimensionnelles (dessins, photos) ou tridimensionnelles (objets, meubles, maisons), émettent des ondes dites « de forme ». Personne n’a pu prouver la justesse de cette théorie (par ailleurs assez discutable), mais l’existence de ces « ondes », quelles que soient leur nature et leur origine véritables, ne semble pas devoir être mise en doute. Des expériences nombreuses (mais non reconnues officiellement, précisons le) ont montré leur existence et leur influence. »
extrait tiré du site :
http://www.lapyramide.org/base.php?page=onde_vibratoire
Il est donc aussi important de faire attention à ce que disons qu’à ce que nous traçons . Ne jamais oublier que nous sommes tous co-créateurs de notre univers .
@zone 51 lorsque j étais petite fille j avais pour habitude de dessiner une maison avec un cerisier un pêcher pommier raisin et un cours d’ eau qui passe au travers du jardin, il s avère que aujourd’hui c est exactement cette maison que j ai , avec tous les arbres fruitiers que j avais l habitude de dessiner, meme les marches du perron y sont, les chiens assis les cheminées , et le cours d’ eau lui passe juste un peu plus haut a l arrière de la maison, donc ce que l on dessine pense imagine, émet des vibrations et finissent par de réaliser j en suis convaincue encore plus aujourd’hui avec cet article, j avais deja fait ce rapprochement alors je vais continuer a dessiner !! Trop fort!!
« Dans le cas où les décimales de Pi auraient une limite, celle-ci devrait se confondre avec la fin de l’univers actuel ». Cela me rappelle l’histoire « fiction » que racontait Jacques Bergier. Un groupe de moines tibétains disaient que l’univers prendrait fin lorsqu’ils auraient trouvé le nom de Dieu. Cela faisait des années qu’ils combinaient les lettres de l’alphabet. Le moine supérieur commanda un ordinateur. Le vendeur de l’ordinateur ne croyait pas un mot de l’histoire, mais il avait réalisé une vente, aussi il s’empressa de prendre l’avion afin de ne pas faire face aux moines qui découvriraient qu’après avoir obtenu toutes les combinaisons, rien ne se passerait. Une fois en vol, il regarda le ciel et il vit les étoiles s’éteindre les unes après les autres.
Pour ceux qui connaissent: la série TV nippone GURREN LAGANN qui raconte le parcours d’un garçon qui découvre une clef- vrille (donc en forme de spirale) lui permettant de piloter un mecha et d’affronter des humanoides qui asservissent l’humanité (en condamnant cette dernière à s’enterrer dans le sol) sous la coupe d’un « roi spirale ». Le garçon découvre la réelle nature de la puissance spirale, lui permettant d’obtenir une energie quasi infinie et d’être (dans le dernier épisode) quasi l’égal de Dieu.
http://www.youtube.com/watch?v=aJWQybYBE80&playnext=1&list=PLB86C5464968E90E7
La série vaut franchement le coup d’oeil et les thèmes cachés y sont très nombreux (y compris la thématique de l’asservissement de l’humanité par une race cachée d’ET).
Sa signification symbolique n’en est que plus démonstrative :
Le cercle est le départ et le développement d’un point central (sphère) représentatif de l’oeuf cosmique primordial. Ainsi, pour être clair, le cercle est une projection de la « manifestation » dans un mouvement rotatif de propagation (d’énergie bien entendu!)…
« Tous les points de la circonférence se retrouvent au centre du cercle, qui est leur principe et leur fin » (Proclus)
« Le centre est le père du cercle » (Plotin)
« Le point a contenu le cercle » (Angélus Silésius).
En fait, le centre est au cercle ce que Dieu est à la création…
Un lien ?
http://www.neotrouve.com/?p=1061
ce soir, la lune tourne au rouge 😀
y à t’il quelqu’un qui m’entende ?