Diffamation en ligne : une proposition de loi passée sous silence
Cela nous apparait comme une énième tentative de museler le Réseau.
Une proposition de loi projette de liquider la loi de 1881 sur la presse, en allongeant le délai de diffamation sur Internet. Pire encore: le 4 novembre dernier, les sénateurs ont fait le distingo entre les sites issus de médias traditionnels «régulièrement déclarés ou autorisés», et les autres. Les premiers, jugés prudents par la Garde des sceaux, resteraient soumis au régime actuel. Les autres comme n’importe quel blog, passeraient sous le nouveau régime, autrement plus strict…
Bonjour
Souvenez vous il y a quelques temps lorsque le sénat était sur la sellette , tout le monde se demandait à quoi servait cette institution et la question était de savoir s’il fallait la conserver elle et ses membres aux salaires et avantages crapuleux. Depuis ils ne savent plus quoi faire pour se faire remarquer , mais les loups ne se mangent pas entre eux, comme de coutume c’est le « petit » qui trinque , l’anonyme, le quidam. Et comme on en a pris l’habitude, une fois de plus on tente de nous museler. Le fossé entre les « élites » et nous se creuse encore un peu plus. Alors je ne sais pas quand aura lieu la prochaine guerre civile , mais je sais qu’elle aura pour objectif de retrouver toutes ces libertés qu’on nous rogne petit à petit , de nous faire respecter en tant que peuple souverain et de faire rouler dans la sciure les têtes de tous les apprentis dictateurs qui ont décider de retourner au système féodal.
bien dit!!
yapluka…
Toutes ces lois liberticides ne sont pas là pour rien.
Il y a d’un côté ceux qui ont abusé et d’un autre côté ceux qui exagèrent, et au milieu il y a nous.
Ce n’est pas aux autorités qu’il faut s’en prendre, avant tout c’est à ceux qui ont abusé, s’en prendre aux autorités c’est facile, parceque c’est eux qu’on montre.
Maintenant, ces dernières n’ont pas su faire ce qu’il fallait, au contraire, elle n’a fait que creuser l’écart entre les gens qui abusent et les gens qui sont abusés.
C’est en nous, qu’il faut révolutionner. Nous devons refuser de nous plier à la violence, de nous plier à ces autorités abhérentes. Que se passerait-t-il si un jour, tout le monde décidait de ne pas travailler (y compris, les prof, les gendarmes, la police, …) et bien rien : se passe-t-il quelque chose de mal à Noël ? (à part des dépenses et donc du profit tandis que certain n’ont pas de quoi manger…)
Pas de profit, pas de perte. Il n’y a qu’une chose à faire, c’est s’unir. S’il doit y avoir un Nouvel Ordre Mondial, ce sera Notre Ordre, dans Notre Monde, définit sur Notre Décision.