Curiosité de la nature : une anguille complètement transparente !
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Il faut vraiment le voir pour le croire. Cette anguille a un corps totalement transparent. C’est à peine si on peut la discerner sur les fonds marins. Magique.
L’eau filtrerait la Matrice ? Je rigole 😉
A moins que ça joue..
Mais les organes aussi sont totalement transparents
Comme quoi 😉
Peut être est-ce un essai militaire sur l’invisibilité qui trainent ??
Ou alors l’effet des neutrinos dû aux dernières explosions solaires ?
L’anguille est un vertébré, cet animal, de ce que je vois n’est pas un vertébré donc pas une anguille et ne possède pas les caractéristiques physiologique de l’anguille. Les arêtes seraient visibles tous comme les organes, même si l’animal en question serait translucide. L’anguille possède une anatomie complexe et divers organes, il n’est pas plat comme cet animal (ou plante, pourquoi pas, après tout ?), sont déplacement est celui d’un feuille de papier ce qui le dispense de vertèbre car il ne serait pas aussi souple. Ses organes sont réduit au minimum vital s’il en a, d’où sa transparence.
Il est évident que ce n’est pas une anguille mais une sorte de limace ultra fine dont les propriétés sont translucides, ce qui n’est pas si rare en soi dans les grands fonds marins de trouver une faune aquatique translucide.
Recherche efectuée en 2 minutes. Instruisez vous.
On donne le nom de leptocéphales aux larves de poissons des ordres des anguilliformes, Saccopharyngiformes et Notacanthiformes. De forme rubanée ou foliacée, très comprimées sur les deux flancs, elles se caractérisent par une transparence due à la grande quantité d’eau que renferment leurs tissus musculaire et conjonctif (voir tissu conjonctif).
La tête est petite et la mâchoire, pointue, est armée de dents longues et grêles dirigées vers l’avant, excellent organe de capture des minuscules animaux planctoniques dont se nourrit le leptocéphale. Une longue nageoire embryonnaire, dépourvue de rayons, court le long du notochorde et la moelle épinière autour desquelles s’organiseront plus tard les ébauches vertébrales
Sur le bord ventral on reconnaît très bien les branchies, le coeur, les ébauches hépatiques, rénales, génitales et le long intestin qui se déploie plus ou moins rectiligne jusqu’à l’anus.
La partie la plus importante de la larve est constituée par une succession de segments musculaires ou myotomes, en forme de doubles chevrons emboîtés les uns dans les autres. Le nombre total de ces segments, fixé dès la naissance -sauf chez les Némichtyidés- correspond au nombre de vertèbres chez l’adulte. La métamorphose du leptocéphale s’accompagne de nombreux changements dans l’organisation interne, enparticulier de l’allongement puis du raccourcissement du tube digestif qui entraîne une migration importante de l’anus. Les dents larvaires tombent et sont remplacées par les dents définitives. La forme générale du corps est très modifiée; de foliacé, le poisson devient subcylindrique. De transparent, le corps devient opaque par suite d’une rapide extension des chromatophores cutanés qui masquent alors la musculature; de plus, les organes internes eux-mêmes deviennent plus opaques par suite de leur moindre hydratation.
La taille des leptocéphales varie beaucoup suivant les espèces. Ceux de l’anguille, qui effectuent leur croissance en dérivant sous l’action des courants dans les eaux superficielles, atteignent 45 à 50 mm avant de se transformer en jeunes civelles.
Chez les Némichtyidés, dont les formes adultes sont caractérisées par un grand allongement du corps en filament caudal, les leptocéphales sont de longs rubans étroits : on cite 253 mm pour Nemichtys scolopaceus, dont le nombre de vertèbres est d’environ 450-500. Les expéditions danoises du Dana et de la Galathea ont permis de capturer, à une vingtaine d’années d’intervalle, deux spécimens de longueur inattendue – 1780 et 1840 mm – véritables larves géantes dont on n’a pu identifier les espèces adultes correspondantes. En 1958, un autre leptocéphale rubané de 893 mm, bien nommé Leptocephalus giganteus, a été pris dans les eaux superficielles au large de la Nouvelle-Zélande. En 1956, au large de Washington, on a découvert une leptocéphale foliacé long de 278 mm et haut de 115 mm, de forme ovalaire parfaite précédée d’une tête minuscule de 11 mm!
Enfin, plus récemment, une larve leptocéphale de plus de 260 mm fut trouvée dans l’océan Indien et rapportée au genre Aldovandria de la famille des Halosauridae, dont on ne connaissait pas encore les formes larvaires.
On donne le nom de larves leptocéphaliennes aux larves de poissons des familles des Elopidae, Megalopidae et Albulidae. Comprimées et transparentes comme les vrais leptocéphales, elles s’en distinguent par la possession de nageoires bien constituées, en particulier une caudale fourchue, pourvue de rayons.
Ah bah tu vois comme quoi avoir l’air intelligent, cela ne suffit pas pour une blatte, je vais me coucher moins con ce soir.
Et demain je me fais un plat de civelles crues.
Wow, la nature fait de belles choses