9/11 : les langues se délient aux USA
Rien ne va plus aux États-Unis. Des membres de la Commission d’enquête eux-mêmes reconnaissent que la version officielle est basée sur des mensonges. Dans son ouvrage qui vient de paraître {The Ground Truth, The Story Behind America’s Défense on 9/11 ?), l’avocat-conseil de la Commission pointe les lacunes de la théorie gouvernementale. Il jette un regard approfondi sur la réponse désorganisée du gouvernement après les attaques et révèle les tentatives délibérées pour masquer les manquements de l’enquête. John Farmer, directeur de la School of Law des universités Rutger, s’appuie sur des transcriptions et enregistrements jusqu’ici tenus secrets. Dernièrement, l’auteur a eu l’occasion de s’expliquer dans l’édition du 11 septembre 2009 du Time magazine, dans le cadre d’une interview: «J’ai été nommé à la tête d’une équipe chargée d’examiner la journée du 11 septembre elle-même et notre réponse à l’attaque. Je pensais que l’histoire serait facile à assembler du fait des nombreux écrits et enregistrements à ce sujet. Mais alors que nous avons commencé à avoir accès à la matière première, ça ne collait pas. Notamment sur des points significatifs ». Farmer assure ainsi au Time que les enregistrements des entrevues menées au centre de la FAA de New York la nuit du ll/9 ont été détruits. Les enregistrements d’interrogatoires de la CIA égale-
ment: « On peut parler d’une culture de la dissimulation. L’histoire du 11/9 elle-même a été, c’est le moins qu’on puisse dire, déformée et s’avère complètement différente de la façon dont les choses se sont réellement passées ».
Farmer n’est pas seul dans ses affirmations. Les langues se délient parmi d’autres membres de la commission tels que Hamilton, Bob Kerrey, Timothy Roemer, Max Cleland, Ernest May. Dès 2006, le Washington Post rapportait: « Les doutes que quelque chose ne tournait pas rond étaient si profonds que les dix membres de la Commission du 11/9, lors d’une réunion secrète a la fin de leur mandat en 2004, ont évoqué la possibilité de renvoyer le cas au Département de la Justice pour enquête criminelle, information corroborée par plusieurs sources provenant de la Commission. Les membres de l’équipe et certains commissaires pensaient que les courriels et autres preuves constituaient des éléments suffisants pour montrer que les officiers militaires et de l’aviation avaient violé la loi en apportant de faux témoignages au Congrès et àla Commission».
Il est maintenant incontestable et de notoriété publique que de nombreux membres de la Commission contestent leurs propres conclusions et affirment avoir été empêchés dans leurs investigations. À quand une nouvelle enquête criminelle, impartiale, sur ce sujet?
Source: Reopen911 .info.