Produire de l’énergie à partir du champ électromagnétique terrestre
Produire de l’électricité puisée de l’environnement en se branchant sur le flux électromagnétique terrestre, c’est ce qu’a réalisé James B. Schwartz, chercheur indépendant.
Un inventeur philippin, le Dr James Schwartz, est parvenu à mettre au point un dispositif qui permettrait de générer six kilowatts de puissance électrique sans apport initial d’énergie.
L’appareil, baptisé ERR Flux Ge-nerator (pour Electromagnetic Radiation Receiver), repose sur l’utilisation d’aluminium et de bismuth disposés en couches successives sur une plaque et entrelacés avec des bobines. Il est supposé se « brancher » sur la bonne fréquence du champ électromagnétique terrestre et son activation produit de l’électricité en agitant les électrons des atomes de bismuth et d’aluminium. La puissance de 6 kW est théorique, mais les expériences réalisées jusqu’ici n’ont permis de générer que 2,4 kW en allumant trois ampoules de 800 watts chacune. « Le principe de l’appareil est le même que le MEC (Motionless Electromagnetic Generator) de Tom Beardens, explique James Schwartz. Excepté qu’il n’a pas besoin d’une source d’énergie externe pour modifier les champs magnétiques. Il utilise un aimant spécial doté d’une puce électronique, ainsi qu’une couche de graphite ultrafin appelégraphène. » Une technique permet de séparer les couches d’atomes de carbone superposées dans le graphite, et les électrons se déplacent entre les couches. Dans le graphène, les particules chargées se comportent comme si elles n’avaient pas de masse, ce qui les rapproche plus des photons que des électrons.
Matériaux « gauchers ». Mais le cœur du concept, c’est l’utilisation de matériaux (aluminium et bismuth) qui obéissent à la « règle de la main gauche » et non la règle de la main droite, utilisée en électromagnétisme. Cette dernière (dans sa version « tire-bouchon ») permet de connaître la forme et la direction des lignes de champ magnétique produites par un courant. Tout fil conducteur traversé par de l’électricité produit en effet un champ magnétique autour de lui, dont l’intensité de flux va décroissante à mesure qu’on s’éloigne du conducteur. Pour faire simple, la règle de la main droite (appelée aussi règle d’Ampère) décrit le sens du champ magnétique autour d’un conducteur rectiligne. Si l’on tient le conducteur dans la main droite en prenant soin que le pouce soit dirigé dans le sens du courant, les autres doigts s’enroulent autour du conducteur dans le même sens que les lignes d’induction du champ. Schwartz s’appuie en fait sur les travaux théoriques du Russe Victor Veselago qui affirmait dès 1968 que des matériaux conçus pour obéir à la règle de la main gauche peuvent interagir avec l’environnement de façon totalement inédite. En 2000, des chercheurs de l’université de San Diego, Sheldon Schultz et David Smith, ont confirmé cela en créant le premier matérau composite « gaucher ». Ainsi, alors que l’énergie électromagnétique se déplace vers la droite, les champs engendrés se déplacent vers la gauche. Les ondes lumineuses générées produisent alors un effet Doppler inverse. Des chercheurs du MIT sont également sur la piste de ces matériaux « gauchers », qui semblent violer une loi fondamentale de la nature.
James B. Schwartz, qui préside la Foтdation de Recherche de l’Arche de Noé aux Philippines, se montre très prudent car les matériaux gauchers qu’il utilise peuvent réagir de façon inatendue et produire brutalement plus d’énergie que prévu. Son objectif est de fabriquer un dispositif qui produise jusqu’à 10 000 watts, de quoi alimenter une grande maison
Site web: www.freewebs.com/narfschwartz
Source Nexus 65 Novembre Décembre 2009
amazing
Je suis pas expert hein… Mais bon d’après moi c’est une très mauvaise idée.
C’est pas comme si c’était utile le champ magnétique terrestre?!? Non! Tirons-lui son énergie, Jouons avec l’équilibre du système solaire, on est tellement futés nous les humains.
http://www.lespacearcenciel.com/le-coeur-de-la-terre-nous-appelle.html
Alors qu’on sait tirer de l’énergie du vide quantique… avec des aimants. (Le vide, on s’en fout; c’est vide)
M’enfin comme dit, j’suis pas un expert… 🙂
Pis… au point où on en est :-))