Les végétariens ont moins de risques de syndrome métabolique
Une nouvelle étude américaine suggère que les végétariens ont moins de risques de développer ce syndrome associé aux problèmes cardiaques, au diabète et aux AVC que ceux qui mangent de la viande.
Dans un communiqué du 13 avril, des chercheurs affirment que chez les végétariens (ceux qui mangent de la viande moins d’une fois par mois), la fréquence du syndrome métabolique (un précurseur des maladies cardiaques, du diabètes et des AVC) est inférieure de 36% que chez ceux qui mangent de la viande. Pour mesurer le syndrome métabolique, on teste la présence de cinq facteurs de risque: une tension élevée, un taux de mauvais cholestérol élevé, un taux de glucose élevé, un taux de tri-glycérides élevé, et un tour de taille trop important. Lorsque l’on prend en compte l’âge, la consommation de tabac et d’alcool et l’activité physique, les végétariens s’en tirent également mieux.
« Je n’étais pas sûr qu’il y aurait une différence significative entre les végétariens et les non-végétariens, et j’ai été surpris par son ampleur », a déclaré Nico S. Rizzo, chercheur à l’Université Loma Linda, aux Etats-Unis. « Cela indique que le style de vie, et par exemple le régime alimentaire, peut être important pour prévenir l’apparition du syndrome métabolique ».
Une étude publiée par le centre allemand de recherche sur le cancer en 2008 avait découvert que les végétariens réduisaient leur risque de mourir prématurément de 50% chez les hommes et de 30% chez les femmes.
Une étude publiée dans le Journal of Agriculture and Food Chemistry cette année a également découvert que, si les mangeurs de viande ont des facteurs de risques cardio-vasculaires significativement plus élevés que les végétariens, les végétaliens tendent à avoir des taux élevés d’homocystéine dans le sang, un acide aminé lié aux maladies coronariennes, et des niveaux plus bas de HDL, aussi appelé « bon » cholestérol.
Le régime végétalien, qui élimine la viande et tout produit animal comme les oeufs et le fromage, manque de certains nutriments-clés comme le fer, le zinc, la vitamine B12 et les oméga-3, qui peuvent faire baisser les risques de maladies cardio-vasculaires. Les acides gras Oméga-3 font baisser les risques d’arythmie (des battements de coeur anormaux), ralentissent la formation de caillots sanguins et permettent de faire baisser la pression sanguine.
L’étude recommandait aux végétariens et aux végétaliens d’accroître leur consommation de ces nutriments. On trouve des oméga-3 dans le saumon et les noix, et de la vitamine B12 dans les crustacés, les oeufs et les laits enrichis (comme celui de soja).
La nouvelle étude est publiée dans le numéro du mars de Diabetes Care, revue de l’American Diabetes Association.
http://www.lavoixaufeminin.fr/actualites/Breves/2011/04/15/article_les-vegetariens-ont-moins-de-risques-de-.shtml
Peut-être aussi parque quand on mange des légumes on fait un peut attention a se que l’on mange ,alors que pour la viande on ne sait pas se que mange les animaux la plus part du temps …. surement plein de truck toxic qu’ils n’arrivent pas a nous faire manger directement ..
La conclusion que j’en tire est que manger des produits pleins de vie est mieux que manger des produits en conserve. Les fruits et les légumes gardent plus longtemps cette qualité de produits vivants que les matières carnées.
Soigner son eau semble aussi une bonne solution pour être en bonne forme.
voici un lien vraiment intéressant que j’ai trouvé sur ce problème de l’eau vivante: http://chris.murray.free.fr/LE.zip : le secret des patriarches.
Moi je constate surtout que nos aliments (donc en dehors des légumes, des poissons et des tripes)
Deux liens utiles :
Explique les différentes vitamines :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vitamine
Les différents apports de différents aliments :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Apports_caloriques_et_vitaminiques_de_divers_aliments
« Moi je constate surtout que nos aliments (donc en dehors des légumes, des poissons et des tripes) »
oops, j’ai oublié la suite :
que la plus part des aliments sont très riches en (ex-)vitamines B.
Les vitamines A, E, C et K ne semblent pas aussi facile à trouver.
Si l’on observe le système digestif de l’humain , semblable en tout points à celui des grands singes on constate qu’il ressemble à celui des herbivores non ruminants , le cheval, les rongeurs , ect … Ce système digestif chez nous et ces espèces est très long et annelé , ceci pour assimiler des aliments plus pauvres en nutriments ou qui nécessitent une plus longue période de digestion .
Les intestins des carnivores sont courts et lisses parce qu’ils sont naturellement destinés à assimiler des aliments très riches en nutriments . Cette constatation nous mène à cette conclusion ; l’homme à été « conçu » par la nature en tant que végétarien à tendance omnivore passagère , comme le porc et certains singes .
Et il va de soi que notre alimentation moderne extraordinairement riche en tout , surtout en protéines et en sucres rapides , n’est plus adaptée à notre anatomie et à notre physiologie naturelle .
Tout comme le lait des vaches n’est pas destiné par la nature à l’homme , dans la vie sauvage , il sert à faire grandir le petit de la vache jusqu’a son sevrage vers l’age de six mois .
L’ingéniosité et les artifices de l’homme ont fait qu’il est devenu possible pour lui de le
consommer , ce qui entraîne une foule de problèmes de santé ; diabéte , obésité , fibromes , prostate , diarrhée du nourrisson ect…
Si nous observions plus attentivement la nature en suivant sa logique , nous éviterions certainement bien des maux . ( Dixit un de mes amis , médecin holistique )
Observons les primates , parmi ceux-ci qui sont tous végétariens , seul le chimpanzé consomme de la viande occasionnellement et des protéines animales sous forme d’oeufs , d’insectes et de larves . C’est le seul entre tous qui fait la guerre à ses semblables et peut tuer des congénères comme l’homme ….
Enfin , c’était juste mon observation .
Le comportement humain ne peut pas se résumer en la conséquence d’une alimentation particulière.
Tu prend pour exemple les porcs, nous savons que ceux ci deviennent extrêmement violents entre eux dans les élevages industrialisés. Nous les privons de leur repère et même des moyens d’assouvir leurs instincts, leur esprits subissent le stress en réaction à cette incohérence, du coup on peut les observer se mordent violemment entre eux jusqu’à s’arracher la queue et les oreilles. C’est pourquoi nous les enfermons dans des boxes individuels pour ne pas voir cette surpopulation s’entredévorer ou plutôt pour obtenir des carcasses « propres » et séduisantes.
Rien à voir avec le paisible animal se promenant non-chalamant entre arbres…
>Le comportement humain ne peut pas se résumer en la conséquence d’une alimentation particulière.<
Pas si sûr , l’alimentation joue certainement à long terme un rôle sur la structure physique et psychophysiogique des organismes vivants , et ceux-ci agissent ensuite sur sans doute sur le comportement en général .
Pour exemple , ce prêtre exemplaire qui qui à la suite de l »ablation d’une partie de l’intestin grêle était devenu un coureur de jupons invétéré .
Les végétariens (liens) semblent tout de même moins enclins à la violence .